Pour comprendre le monde en profondeur, il faut connaître la détresse et les horreurs de la guerre et des zones de conflits. C’est là où le colonialisme et le néo-colonialisme montrent leurs horribles dents pointues. Et par zones de conflits, je ne veux pas seulement dire les endroits qui sont bombardés depuis les airs et pilonnés par l’artillerie. Il y a des « zones de conflit » où des dizaines de milliers, même des millions de personnes sont en train de mourir à cause des sanctions, de la misère ou des batailles internes attisées depuis l’extérieur (comme au jour d’aujourd’hui en Syrie).
Andre Vltchek, lire la suite